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Le projet HAPPY a pour objectifs de caractériser les émissions de HAP et de leurs dérivés par les appareils de chauffage domestique au bois, d'étudier les paramètres influant leur formation et d'élaborer des facteurs d’émission pour les nouveaux appareils
Le projet VSNAT vise à optimiser la ventilation naturelle des espaces tampons, tels que les vides sanitaires et les parkings, pour réduire les pollutions intérieures. Il combine modélisation et expérimentation sur site.
Le projet COQAIR vise à analyser l'impact des modes de vie urbains sur la qualité de l'air et propose des scénarios socio-psychologiques pour améliorer la qualité de l'air, combinant enquêtes et modélisation.
Le projet INTERMOB-ANALYSIS porte sur la problématique du changement de comportement de mobilité dans la région urbaine grenobloise. Une étude est menée auprès de 150 volontaires qui s’engagent sur une période donnée à réduire l’utilisation de la voiture.
En assurant et maîtrisant le renouvellement d’air, les systèmes de ventilation jouent un rôle primordial dans le maintien d’une bonne QAI dans les bâtiments.
Le projet EMINAV vise à évaluer les émissions polluantes des navires, en particulier des moteurs diesel et au gaz naturel liquéfié, en conditions réelles. Les résultats permettront de comparer différentes solutions pour réduire la pollution atmosphérique.
Le projet PIRATE vise à améliorer la quantification en temps réel des émissions de polluants atmosphériques liées plus particulièrement aux mouvements des navires en zones portuaires et à permettre aux autorités portuaires de développer des stratégies
Le projet CONFLUANT vise à caractériser les émissions polluantes des péniches de transport de matériaux et à évaluer le potentiel de formation d'aérosols organiques secondaires avec des carburantsdifférents (GNR, GTL et B100)
Le projet Crois’Air caractérise l’impact global de deux ferries, utilisant des moteurs de propulsion au HFO ou au GNL, sur les passagers et personnel naviguant, les riverains et l’environnement en termes d’émissions de polluants et leur perception.
La présence dans les environnements intérieurs de nombreuses substances chimiques, biologiques et physiques, ainsi que le temps passé dans des espaces clos font de la qualité de l’air intérieur (QAI) une préoccupation majeure de santé publique.
