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Le projet AQAMETHA vise à évaluer l'impact atmosphérique des installations de méthanisation en France et à tester un dispositif d'implication des riverains pour favoriser l'acceptabilité des projets.
Le projet CAPARA vise à connaître, avec une meilleure estimation, la contribution locale du secteur agricole aux niveaux de particules (concentrations de fond et des épisodes de pollution) observés dans l’air en région Hauts-de-France.
Le projet CREAA vise à réduire les émissions d'ammoniac agricole en s'appuyant sur des données de mesure, la caractérisation des pratiques agricoles et l'évaluation des outils de prévision.
Le projet ROSAS permet de mesurer des concentrations d’ammoniac (NH3) au sol, mieux distribuées spatialement et accessibles à des échelles journalières, grâce au lien optimal de l’apport des données satellites.
Le projet PROTEGE-MIPLAS vise à étudier l'émission de micro et nanoplastiques lors du traitement et de la régénération des déchets plastiques. Il identifie les sources potentielles, caractérise les échantillons et évalue leur impact toxicologique.
Une partie des polluants que l’on retrouve en air intérieur provient de l’air extérieur ou du sol (source naturelle et anthropique).
Essentiel à la transition énergétique, le chauffage domestique au bois contribue cependant à la pollution de l’air. L’optimisation de la qualité de combustion est l’enjeu principal pour réduire les émissions polluantes.
La ville est une échelle clé pour aborder les problématiques de qualité de l’air, car une majorité de la population y vit, travaille et se déplace, et que les acteurs locaux peuvent agir sur les émissions de polluants.
