Recherche Ademe
Connectons science et société
Une partie des polluants que l’on retrouve en air intérieur provient de l’air extérieur ou du sol (source naturelle et anthropique).
Essentiel à la transition énergétique, le chauffage domestique au bois contribue cependant à la pollution de l’air. L’optimisation de la qualité de combustion est l’enjeu principal pour réduire les émissions polluantes.
La ville est une échelle clé pour aborder les problématiques de qualité de l’air, car une majorité de la population y vit, travaille et se déplace, et que les acteurs locaux peuvent agir sur les émissions de polluants.
L’amélioration de la qualité de l’air et l’atténuation/adaptation au changement climatique resteront deux grands défis sociétaux à relever à la fois majeurs et étroitement liés.
En assurant et maîtrisant le renouvellement d’air, les systèmes de ventilation jouent un rôle primordial dans le maintien d’une bonne QAI dans les bâtiments.
Le projet COQAIR vise à analyser l'impact des modes de vie urbains sur la qualité de l'air et propose des scénarios socio-psychologiques pour améliorer la qualité de l'air, combinant enquêtes et modélisation.
Le projet INTERMOB-ANALYSIS porte sur la problématique du changement de comportement de mobilité dans la région urbaine grenobloise. Une étude est menée auprès de 150 volontaires qui s’engagent sur une période donnée à réduire l’utilisation de la voiture.
Bien caractériser les sources des émissions dans l'air intérieur permet de mieux connaître les expositions associées, de mieux appréhender leurs effets sur la santé et de développer la prévention.
La pollution atmosphérique nécessite des politiques de gestion autour de plans d'action régionaux, nationaux ou internationaux.
